Au soir, quand la neige charge sur les chemins
Mais refuse le piège chaud que tendent mes mains
Mille flocons qui tombent
Filent dans la pénombre
Que tout m’échappe, mais ça m’ fait rien.
Ou quand mes notes, mes arpèges, mes chansons, mes refrains
Rejoignent le grand cortège ou tout se mélange enfin
Sonnez les croches vagabondes
Noires et blanches dans la même ronde
Que tout m’échappe, mais ça m’ fait rien.
Mais quand une fille traverse ma place de jeux
J’ai des feux de détresse à la place des yeux
J’ai peur que mes charmes ne fondent
Que les heures se changent en secondes
Que tout m’échappe, et ça, ça m’atteint.
Que tout m’échappe, et ça, ça m’atteint.
Vos commentaires
Aucun commentaire pour le moment