On m'a longtemps dit : « Jamais tu ne trouveras des hommes, des hommes dont on ne se méfie pas »
Pourtant j'ai toujours su qu'entre vous et moi, ce serait doux comme vous l'êtes, vous, mes maladroits
Est-ce à cause des récits de bruts petits soldats qu'on vous dit ennemi de nos nobles combats ?
Pourtant j'ai toujours eu partout autour de moi des doux comme vous l'êtes, vous, mes maladroits
Vous qui sortez les armes et élevez vos voix puis baissez la garde pour pleurer avec moi
Vous qui faites dе mes drames des « demain ça ira »
Oh pour ça je vous aime, sans gêne mes maladroits
Je vous aime sans gêne mes maladroits
Je vous aime sans gêne mes maladroits
Si bien sûr j'ai appris, sur vos épaules le poids d'une histoire qui vous dit « ce monde est fait pour toi »
Moi j'ai toujours vécu comme poussée par vos voix, fière de vous avoir pour frères mes maladroits
Vous qui sortez les armes et élevez vos voix puis baissez la garde pour pleurer avec moi
Vous qui faites de mes drames des « demain ça ira »
Oh pour ça je vous aime, sans gêne mes maladroits
Je vous aime sans gêne mes maladroits
Je vous aime sans gêne mes maladroits
C'est pas toujours joli, vos mots indélicats auxquels moi aussi, j'avoue, je ris parfois
Mais maintenant qui l'eut cru, vous dites avant moi : « soyons doux comme vous l'êtes, vous, et parfois maladroits »
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