La princesse qui dort
Dans la pièce à côté
Et de tous ses efforts
Garde les poings fermés
Éblouie de confort
Cette nuit étoilée
Jusqu’à l’heure où l’aurore
Lève le bout du nez
Je veille sur son sort
Et retiens les baisers
De tous ceux qui l’adorent
Et l’embrassent en pensée
Son sommeil est si fort
Tellement passionné
Qu’il embête les morts
Aux repos bien légers
Les marmottes ont encore
Les faveurs de Morphée
Mais la relève est d’ores
Et déjà assurée
La princesse qui dort
Dans la pièce à côté
Et de tous ses efforts
Garde les poings fermés
Chhhhhh.
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