Deux trois années passées
À scruter toutes les
Silhouettes ferroviaires
Front collé à ma vitre
Mais tout allait trop vite
Ou pas assez au contraire
J’ai tiré les rideaux
J’ai repris sans un mot
Mon existence sommaire
Je me sens si binaire
Tellement ordinaire
Prends-moi dans tes bras, console-moi
Remplis mes poches de tartines au chocolat
Je veux du soleil, des yeux qui clignent
Mais qui jamais ne se résignent
Deux trois années passées
À scruter toutes les
Silhouettes ferroviaires
Front collé à ma vitre
Mais tout allait trop vite
Ou pas assez au contraire
J’ai tiré les rideaux
J’ai repris sans un mot
Mon existence sommaire
Je me sens si binaire
Tellement ordinaire
Deux trois années passées
À scruter toutes les
Silhouettes ferroviaires
Front collé à ma vitre
Mais tout allait trop vite
Ou pas assez au contraire
J’ai tiré les rideaux
J’ai repris sans un mot
Mon existence sommaire
Je me sens si binaire
Tellement ordinaire
Collons nos antennes à la résine
Prom’nons-nous dans les bois
Tant que le loup est là
Je veux du pollen plein les narines
Et tes grands yeux qui crient famine.
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