Parfois j'aimerais me tirer comme une balle
Et puis revenir Ă la prochaine aube
Sans que personneâ
neâ
s'en aperçoive
Parfois j'aimeraisâ
me tirer comme une balle
Et puisâ
revenir Ă la prochaine aube
Sans que personne ne s'en aperçoive
Les démons du fond de mon esprit me rappellent que la guerre plane
Je me sentirai toujours aussi seul dans cette gare pleine
J'aimerais tellement prendre un train, réparer mes blessures
Mais toujours à mes cÎtés vagabonde ma solitude
J'ai vécu comme un insensé ne pensant plus qu'au lendemain
Laidement, j'ai laissé les miens loin de moi
Pensant transformer l'univers
à l'aide d'une idée, à l'aide d'une priÚre
Il m'arrive de me le dire quand dans la ville, il fera noir
Je ne voudrais plus revenir, ce sera peut-ĂȘtre temps un jeudi soir
Quand la neige tombera, que le blanc peindra la ville
Le froid chassera le chagrin, je m'en irai sur mon navire
Faire couler les semaines et les mois
BĂątir un monde qui puisse ĂȘtre sans loi
N'Ă©couter que ce qui se passe en moi
Observer l'horizon et puis rester sans voix
Parfois j'aimerais me tirer comme une balle
Et puis revenir Ă la prochaine aube
Sans que personne ne s'en aperçoive
Parfois j'aimerais me tirer comme une balle
Et puis revenir Ă la prochaine aube
Sans que personne ne s'en aperçoive
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