Plus encore que tes yeux, plus encore que tes mains,
Plus encore que ton corps, plus encore que tes seins,
Câest ton cĆur qui sâen va, câest ton cĆur que je perds
Sur le port jâai jetĂ© une bouteille Ă la merâŠ
Et cette indifférence
MâaltĂšre et me dĂ©truit
Jâai peur de ton silence
Jâai peur de ton oubli
Et jâai le cĆur lourdâŠ
Et cette nuit qui dure et qui nâen finit pas
De me faire oublier sans jamais sâarrĂȘter
Un matin, un été, une vie, un bonheur
Des doigts sur un piano qui sâĂ©teignent et qui pleurentâŠ
Je crains, je ne peux plus supporter cet espoir
Ce rĂȘve que je sais impossible et cruel
Cette vie de chimĂšres qui prend des airs de fĂȘte
Pour mieux se déguiser en regrets éternels
Et cette indifférence
MâaltĂšre et me dĂ©truit
Jâai peur de ton silence
Jâai peur de ton oubli
Et jâai le cĆur lourdâŠ
Ce mal qui fait du bien, qui mâa fait croire en nous
Me ronge et me pourrit, me fait oublier tout
Le soleil du jour, la fraicheur du soir
Jâai froid, jâai peur de toi et jâai du mal Ă croire
Que jâai rĂȘvĂ© trop fort Ă cette Ăźle engloutie
Au havre de bonheur aujourdâhui qui sâenfuit
Emportant avec lui ton cĆur et ma folie
Jâai mal de tant tâaimer, pourvu que je tâoublieâŠ
Et cette indifférence
MâaltĂšre et me dĂ©truit
Jâai peur de ton silence
Jâai peur de ton oubli
Et jâai le cĆur lourdâŠ
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