Une plaine et des chĆurs dâenfants
Rien nâĂ©tait plus beau quâaujourd'hui
Le soir tombait comme un rideau
Les jeunes gens sâen allaient
Le soir tombait comme un rideau
MĂ©tallique
Les jeunes gens sâen allaient
RĂȘvant Ă lâair libre allergĂšne
Dâune autre plaine
Et le jour avait
Une couleur dâĂ©tĂ©, de printemps
Des milliers dâavions
Ăventraient le ciel mais nous nâavions
Et le jour avait
Une couleur dâĂ©tĂ©, de printemps
Des milliers dâavions
Ăventraient le ciel mais nous nâavions
Peur de rien
Dans la plaine montait enfin
Cette clameur qui Ă©tourdit
Les nues se fendaient de sifflets
Les jeunes gens sâen allaient
Lâazur se fendait de sifflets
MĂ©talliques
Et les jeunes gens sâen allaient
Par mille ! Ivre cohorte
Qui hĂątivement Ă©levait au milieu de la plaineâŠ
Parmi lâivre cohorte
Ils sâen allaient
Sâen allaient
Sâen allaient
Sur le champ
S'en allaient se perdre
Au milieu de lâivre cohorte
Qui hĂątivement Ă©levait
Un grand bûcher pour se distraire
LĂ , tout juste au cĆur de la plaine
Au cĆur de la plaine
Et le jour avait
Une couleur dâĂ©tĂ©, de printemps
Des milliers dâavions
Ăventraient le ciel mais nous nâavions
Et le jour avait
Une couleur dâĂ©tĂ©, de printemps
Des milliers dâavions
Ăventraient le ciel mais nous nâavions
Peur de rien
Peur de rien
Peur de rien
Dans cette plaine
Cette autre plaine
Une autre plaine
Une autre plaine
Dans laquelle nous nâavions peur de rien
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