Madame je jalouse
Ce vent qui vous caresse
Prestement la joue
Des provinces andalouses
Et panaméricaines
Ce vent suave est si doux
Madame je jalouse
Madame je jalouse
Ce vent qui vous caresse la joue !
En ces provinces andalouses
Lui vient se poser contre votre peau dâacajou
Lui vient se poser contre votre peau dâacajou
Quand je reste Ă Paname...
Oh oui
Oh oui !
Oh oui !
Oh oui !
Oh oui !
Chaque missive lâavouerais-je
Ă chaque missive lâavouerais-je
Je crains de vous causer lâennui
Et cette attente comme un missile
Endolorit ma tĂȘte grĂšge, grĂšge
Endolorit ma tĂȘte grĂšge, grĂšge
Que deux fois passe le jour
Et vienne la nuit
Passe le jour
Et vienne la nuit !
Ouais, vienne la nuit
Que tu me reviennes toi sur lâautre rive !
Es-tu avec un autre ?
Les choses nous Ă©chappent
Pourquoi les retenir
Par le bout de lâĂ©charpe ?
Si vite devenir
Ătranges, Ă©trangers lâun Ă lâautre
Au cou le souvenir Ă©trangle...
Et je reste Ă PanameâŠ
Oh oui
Oh oui !
Oh oui !
Oh oui !
Oh oui !
Native des contrées
OĂč CortĂ©s est venu
Trouver haine et fortune
Tu sais de mémoire ancienne
Te méfier des braves
de leur soif inopportune !
Combien de lĂąches sont venus ici
Courir chimĂšres Ă coup de fusils ?
Ivres de gloire ont-ils pensĂ© que ton cĆur
Serait conquis percĂ© de flĂšches et de rancĆur
Comme tes cĂŽtes mexicaines !
De Malinche, de Malinche
Il nây en aura quâune
Oh oui
Oh oui !
Oh oui !
Oh oui !
Oh oui !
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