Quand tu danses, danses, danses devant moi
Je sens mon cĆur qui bat
Au rythme de tes pas
Quand tu danses, danses, danses devant moi
Je sens la vie, la vie qui va
Et je pense, pense, pense que jamais
Jamais tu ne devrais tÂŽarrĂȘter de danser
Alors danse, danses, danse devant moi
Je tÂŽen supplie, nÂŽarrĂȘte pas
JÂŽai besoin ce soir de tout oublier
JÂŽai besoin de te regarder danser
La cadence,-dence, -dence- de tes pas
Me grise et je ne sens plus autre chose en moi
QuÂŽun immense, -mense, -mense, feu de joie
Brûlant mon corps de haut en bas!
Dans ma tĂȘte en feu
Je sens peu Ă peu
La folie qui mÂŽenvahit
Et me trouble les yeux
Et je ne vois plus
Que tes jambes nues
Sarabande de légende
Monde merveilleux
Tes yeux
Quand tu danses, danses, danses devant moi
Je sens mon cĆur qui bat
Au rythme de tes pas
Quand tu danses, danses, danses devant moi
Je sens la vie, la vie qui va
Et je pense, pense, pense que jamais
Jamais tu ne devrais tÂŽarrĂȘter de danser
Alors danse, danses, danse devant moi
Je tÂŽen supplie, nÂŽarrĂȘte pas
LŽassemblée à dévoré le veau gras
Et lŽalcool commence à faire du dégùt
LÂŽalcool qui coule, coule Ă flots
Des corps qui roulent au fond des ruisseaux
Et tu danses, danses, danses devant moi
Je sens mon cĆur qui bat, qui bat
Et du danses, danses devant moi
Je tÂŽen supplie nÂŽarrĂȘte pas
NÂŽarrĂȘte pas!
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