On ne peut pas toujours mourir
À trente ans et en rester là
On ne peut pas toujours se dire
La vérité, ça n’ marche pas
Sur le mur, tes amants défilent
Montés sur des chevaux de bois
Tu te demandes à quoi ça rime
Et jusqu’au soir, tu restes là
Comme si la fin du monde allait venir
Et jeter son manteau sur toi
Mais des regrets, mais des soupirs
À digérer, qui en a pas
Comme si la fin du monde allait venir
Et jeter son manteau sur toi
Mais des regrets, mais des soupirs
À digérer, qui en a pas
On a que des souvenirs
Et il faut les garder pour soi
Y’ a un temps pour les sortir
Y’ a un temps où ils sont froids
Sur les murs dans une autre ville
Tu reconnais d’autres endroits
Tu penses que tu en connais mille
Et sans bouger tu restes là
Comme si la fin du monde allait venir
Et jeter son manteau sur toi
Mais des regrets, mais des soupirs
À digérer, qui en a pas
Comme si la fin du monde allait venir
Et jeter son manteau sur toi
Mais des regrets, mais des soupirs
À digérer, qui en a pas
Nous étions tous
Fous de toi
Nous voulions tous
De tes bras
Sentir la douce
Étreinte et la
Sueur et la mousse
Coller nos doigts
Comme si la fin du monde allait venir
Et jeter son manteau sur toi
Mais des regrets, mais des soupirs
À digérer, qui en a pas
Comme si la fin du monde allait venir
Et jeter son manteau sur toi
Mais des regrets, mais des soupirs
À digérer, qui en a pas
Comme si la fin du monde allait venir
Et jeter son manteau sur toi (qui en a pas)
Mais des regrets, mais des soupirs
À digérer, qui en a pas (qui en a pas)
Comme si la fin du monde allait venir
Et jeter son manteau sur toi
Mais des regrets, mais des soupirs
À digérer, qui en a pas
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