Au plus haut de la ville aux sept collines
Ă lâombre des longs pins parasol
Tu mâadoptais comme une orpheline
Moi jâavais perdu mon nord
Quand jâai frappĂ© Ă sa porte
Me restait quelques forces pour tomber
Sous les charmes de son corps
Son corps Ă©tranger
Quand la louve mâa mise dehors
Me restait mes deux yeux pour pleurer
Toutes les larmes de mon corps
Mon corps Ă©tranger
Dans les jardins de la ville Ă©ternelle
OĂč les cigales chantaient la chaleur
Ton heure Ă©tait toujours la mienne
(âIl tempo passava veloceâ câest la dolce vita)
LĂ -bas moi jâai perdu mon cĆur
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