Je m'appelle Brahim, et j'ai trente ans
J'habite un coin entre l'enfer et le rêve
Amoureux d'une fille aux yeux de maman
D'un petit gaillard au doux prénom d'Aymen
Dans mon pays, y a des barbares
Des hommes en plomb, entre le diable et la folie
Vendus pour ceux, qui prônent la vérité
Que nos vies sont moins chères que leurs putains d'idées
Alors, laissez-moi une place
Car non moi, non moi je ne veux plus rien
Qu'un bout de pain, à boire pour mon gamin
Car non moi, non moi je ne veux plus rien
Qu'un petit chevet, que naissent les rêves de mon gamin
Offrez-moi, qu'une larme de pitié
Un peu d'amour, un sourire pour mon gamin
Je m'appelle Brahim, et j'ai trente ans
Aujourd'hui je n'ai que les yeux pour pleurer
Et demain, sera-t-il déjà trop tard
Je n'aurai que la mer comme seul espoir
Oui mon pays, regorge de barbares
Vêtus tout de noir entre le diable et la folie
N'offrent comme seul espoir, de mourir avant l'heure
N'offrent qu'un désespoir, la misère pour nous petits
Alors, laissez-moi une place
Car non moi, non moi je ne veux plus rien
Qu'un bout de pain, à boire pour mon gamin
Car non moi, non moi je ne veux plus rien
Qu'un petit chevet, que naissent les rêves de mon gamin
Offrez-moi, qu'une larme de pitié
Un peu d'amour, un sourire pour mon gamin
La vie n'est-elle pas faite pour vivre
Car non moi, non moi je ne veux plus rien
Qu'un bout de pain, à boire pour mon gamin
Car non moi, non moi je ne veux plus rien
Qu'un petit chevet, que naissent les rêves de mon gamin
Offrez-moi, qu'une larme de pitié
Un peu d'amour, un sourire pour mon gamin
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