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Paroles de la chanson «Radio Pekin» par Jean-Patrick Capdevielle

Quatre heures du matin sonnent au fond de ma tĂȘte.
Les idĂ©es noires, rien ne les arrĂȘte.
Ma vie se déguise en cauchemar, si ça dure, c'est pas par
hasard.
Elle m'a seulement laissé son autographe
En dessous des mots "fin de paragraphe"
Un vieux transistor prĂšs du lit chante pour moi, seul dans
la nuit.

Radio PĂ©kin parle de demain, Radio PĂ©kin parle, je
comprends rien.
Radio PĂ©kin parle de demain, Radio PĂ©kin parle, je pense
Ă  rien.

Mon réveil agonise depuis minuit, je l'ai cassé quand elle
est partie.
Peut-ĂȘtre qu'un jour elle reviendra, si je la guette seul
sous les draps.

Radio PĂ©kin parle de demain, Radio PĂ©kin parle, je
comprends rien.
Radio PĂ©kin parle de demain, Radio PĂ©kin parle, je pense
Ă  rien.

Le sens de l'histoire me donne pas d'espoir.
Le sens de l'histoire me jette au placard.

Quand elle est partie, ma tĂȘte Ă©tait prĂȘte.
Maintenant toute cette histoire me paraĂźt bien bĂȘte.
Y'a plus qu'une chose qui me soutient, Radio PĂ©kin.

Je comprends rien, je pense Ă  rien.
Je comprends rien je me sens bien.
Je comprends rien, je pense Ă  rien, je pense Ă  rien, je
pense Ă  rien.

Quatre heures du matin sonnent au fond de ma tĂȘte.
Les idĂ©es noires m'attaquent, rien ne les arrĂȘte.
Quatre heures du matin sonnent au fond de ma tĂȘte.
Les idĂ©es noires m'attaquent, rien ne les arrĂȘte.

 
Publié par 103513 4 5 7 le 28 novembre 2020 à 11h30.
Mauvaises Frequentations

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