Comme moi vous savez
Les nombres des navets
Quâon voit sur les chaĂźnes ordinaires
Leur grande utilité
Câest de nous Ă©viter
Tout câ qui est somnifĂšre
Ăa je crois savoir, je crois le savoir,
Ăa je crois savoir
Mes cent-quarante chats
Ronronnent et font du gras
La tĂȘte entre les pattes
En regardant un peu
On trouve beaucoup mieux
Ă gauche comme Ă droite
Et ça je crois savoir, je crois le savoir
Ăa je crois savoir
Les soucis, les problĂšmes
Nâen jetez plus la cour est pleine
On nâa rien Ă dĂ©clarer
Juste envie de se marrer
Les fadas, les tordus
La cour est pleine nâen jetez plus
La vie câest une drĂŽle dâhistoire,
Ăa je crois le savoir
Jâai quelques bons amis
Qui accourent quand je crie
« à table et à la nÎtre ! »
Des gens surentraßnés
Qui ont câest confirmĂ©
Un bras plus fort que lâautre
Pourquoi, je crois savoir,
Je crois le savoir
Pourquoi, je crois savoir
Yâa une fille alanguie
Au milieu dâun grand lit
Qui attend que jâappelle
Si jâĂ©tais un guerrier
Et le monde Ă sauver
Je commencârais par elle
Ăa je crois savoir, je crois le savoir,
Ăa je crois savoir
Les soucis, les problĂšmes
Nâen jetez plus la cour est pleine
On nâa rien Ă dĂ©clarer
Juste envie de se marrer
Les fadas, les tordus
La cour est pleine nâen jetez plus
La vie câest une drĂŽle dâhistoire,
Ăa je crois le savoir
Câest ma chanson pour Jacques
Celui qui se la coule
Dans son jardin de Corse
Ăcrite Ă sa maniĂšre
Sans me faire une ampoule
Sans me faire une entorse
Et ça⊠je crois savoir
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