Je te connais si bien
Tu as dĂ» ce matin
Encore, une fois de plus,
Exhumer les photos
Regarder le piano
Et jeter sur la rue
Et les murs un peu sales
Un sourire triste et pĂąle
CĂ©cile, CĂ©cile
CĂ©cile, CĂ©cile
CĂ©cile, CĂ©cile
CĂ©cile, CĂ©cile
Et aujourdâhui encore
Des nouvelles, peut-ĂȘtre,
Dâun ami exilĂ©
Qui voyage dans le nord
Il nây a pas si longtemps
Le brouillard Ă©tait doux
Quand nous voguions ensemble
Et tes mains qui en tremblent
CĂ©cile, CĂ©cile
CĂ©cile, CĂ©cile
CĂ©cile, CĂ©cile
CĂ©cile, CĂ©cile
Le chien nâa pas compris
Alors tu le confies
De plus en plus souvent
Au voisin du dessus
Toi tu aurais voulu
Quâil se laisse mourir
Parmi les souvenirs
Mais il joue comme avant
CĂ©cile, CĂ©cile
CĂ©cile, CĂ©cile
CĂ©cile, CĂ©cile
CĂ©cile, CĂ©cile
Il est bientĂŽt huit heures
Et la vie nâattend pas
Dehors se lĂšve dĂ©jĂ
La cohue du matin
"Le malheur te va bien"
Comme la joie dâailleurs
Câest un jour comme un autre
Tu en connaĂźtras d'autres
CĂ©cile, CĂ©cile
CĂ©cile, CĂ©cile
CĂ©cile, CĂ©cile
CĂ©cile, CĂ©cile
CĂ©cile, CĂ©cile
CĂ©cile, CĂ©cile
CĂ©cile, CĂ©cile
CĂ©cile, CĂ©cile
CĂ©cile, CĂ©cile
CĂ©cile, CĂ©cile
CĂ©cile, CĂ©cile
CĂ©cile, CĂ©cile
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