Je suis encore sur la rive étrangère
Il prit son temps le bonheur éternel
Oh je voudrais déjà quitter la terre
Et contempler les merveilles du ciel
Lorsque je rêve aux joies de l'autre vie
De mon exile je ne sens plus le poids
Puisque bientôt vers ma seule patrie
Je volerai pour la première fois
Oh quel instant, quel bonheur ineffable
Quand j'entendrais, le doux son de ta voix
Quand je verrais de ta face adorable
L'éclat divin, pour la première fois
Lorsque je rêve aux joies de l'autre vie
De mon exile, je ne sens plus le poids
Puisque bientôt vers ma seule patrie
Je volerai pour la première fois
Au ciel toujours, on y prête tendresse
Je t'aimerais sans mesure et sans loi
Et mon bonheur me paraîtra sans cesse
Aussi nouveau que la première fois
Lorsque je rêve aux joies de l'autre vie
De mon exile, je ne sens plus le poids
Puisque bientôt vers ma seule patrie
Je volerai pour la première fois
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