Qu'est-ce qui se trame ? un sourire, une panne, un Ă©lixir ?
Et je sens tout au fond de moi, et je prends, j'entends encore ta voix
Je vois encore tes oriflammes, j'attends encore que l'on me calme
Je suis si fort dans le désir, tout est si mort dans le plaisir
J'entends encore parler de toi, je sens ton corps tout prĂšs, lĂ -bas
Tout est si loin, tout est si froid que je sors et je donne de la voix
Je donne de la voix
Je donne de la voix
Qu'est-ce qui me tient alors en vie ? un parfum, une autre vie ?
Tous les démons qui me guident sont si cons et si livides
Je ne serai plus qu'un comédien, je ne serai plus qu'un assassin
Les états d'ùmes on les oublie, les cathédrales on les envie
J'entends encore parler de toi, je sens ton corps tout prĂšs, lĂ -bas
Tout est si loin, tout est si froid que je sors et je donne de la voix
Je donne de la voix
Je donne de la voix
Qu'est-ce qu'on suspecte ? On ne voit rien venir. Est-ce qu'on arrĂȘte d'ĂȘtre pire ?
Les idéaux retombent si bas, l'envers prend le pas sur l'endroit
Je poursuivrai en vain ma quĂȘte, j'irai de planĂštes en planĂštes
Je ne crois plus en l'avenir tout est si mort dans mon plaisir
J'entends encore parler de toi, je sens ton corps tout prĂšs, lĂ -bas
Tout est si loin, tout est si froid que je sors et je donne de la voix
Je donne de la voix !!!!!!!!!!!!!
Je donne de la voix !!!!!!!!!!!!! Allez
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Une chanson de NAGAS mĂȘlant amour et colĂšre.
On peut y suspecter différentes différentes interprétations, en voici une :
La confrontation des sentiments est ici omniprésente :
Je suis si fort dans le désir, tout est si mort dans le plaisir.
Le mal-ĂȘtre Ă©galement, celui qu'on ressent quand on ne sait plus qui on est :
Je ne serai plus qu'un comédien, je ne serai plus qu'un assassin
et que l'on doit faire face à des désillusions :
Les idéaux retombent si bas, l'envers prend le pas sur l'endroit
Mais malgré tout on continue à chercher un sens à notre vie :
Je poursuivrai en vain ma quĂȘte, j'irai de planĂštes en planĂštes
Et finalement entend-on parler d'un(e) autre ou de nous mĂȘme ?
J'entends encore parler de toi, je sens ton corps tout prĂšs, lĂ -bas
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