Cambre, cambre
Si nos deux corps sâassemblent,
Câest que câest bon, enfin parait-il, il me semble
Trésor, trésor si tu rentres et ressors
Câest que lâamour nâest pas mort,
Enfin, parait-il, tâes dâaccord
A ce quâil parait, tâes dâaccord
Quand je pense Ă toi,
Souvent, les mots ne me viennent pas
Mais quand je pense Ă lui,
Souvent, ça dure toute la nuit
J'te pousse, pousse
Des falaises de lâĂźle Rousse,
Ce sera nous deux contre tous,
Parait-il, une folie douce
Trop tard, trop tard mais
Si tu me le demandes je partirai,
CâĂ©tait juste un faux-dĂ©part,
Tâas quâĂ suivre mon regard
Et seule dans le lit
JâdĂ©clenche lâalarme incendie,
Et moi, je pense Ă nous, Ă lui,
Parait-il, lui aussi
A ce quâil parait, toi aussi
Quand je pense Ă toi,
Souvent, les mots ne me viennent pas
Mais quand je pense Ă lui,
Souvent, ça dure toute la nuit
DĂ©jĂ Septembre
Mon cĆur nâest plus Ă prendre
Le tien non plus, enfin, Ă ce quâil parait, je me demande
Vu que tâĂ©coute, j'te demande
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