Encore une semaine et câest la quarantaine
Elle a tout pour elle, elle est bien trop belle
Elle donnerait des ailes Ă un centenaire fidĂšle
Je suis au bord du délire, pauvre de moi
Je nâai plus quâune chose Ă dire, et câest « Oh! LĂ ! LĂ !»
Câest : Oh! LĂ ! LĂ ! Oh! LĂ ! LĂ ! Oh! LĂ ! LĂ ! Que je lâaime
Jâai fais des piqĂ»res, de lâacupuncture
Un régime sans elle et quelques mois de cure
Mais jâai un problĂšme, câest toujours le mĂȘme
Je lâai dans la peau et elle mâa dans la sienne
Et mĂȘme si ça nâest pas le martyre, ça le sera
Je nâai plus quâune chose Ă dire, et câest « Oh! LĂ ! LĂ !»
Câest : Oh! LĂ ! LĂ ! Oh! LĂ ! LĂ ! Oh! LĂ ! LĂ ! Que je lâaime
Ăa y est, jâagonise, son amour mâĂ©puise
Je ne tiendrai pas jusquâau temps des cerises
Mes amis, mes frĂšres, voyez le notaire
Jâai laissĂ© chez lui mes volontĂ©s testamentaires
Et quand il va vous les lire, ne riez pas
Je nâavais quâune chose Ă dire, câĂ©tait « Oh! LĂ ! LĂ !»
Câest : Oh! LĂ ! LĂ ! Oh! LĂ ! LĂ ! Oh! LĂ ! LĂ ! Que je lâaime
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