Le souffle tendre de la nuit
Sur mon cœur encore engourdi
S'est posé
Je ne fréquente pas trop mon lit
Je déambule en plein Paris
Médusé
Sur les boulevards tombe la pluie
Et moi je danse à l'infini
Enivré
Il faudrait que tu sois sortie
Pour m'expliquer enfin le bruit
Démodé
Qui coule dans mes veines...
La nuit je ne dors pas
Je fais des rêves qui parlent de toi
La nuit je ne dors pas
Je fais des rêves qui parlent de toi
De tes amants de tes poètes
De tes ivresses et de tes fêtes
La nuit tu ne me réponds pas
Et je m'imagine glisser mes doigts
Dans ta bouche comme la première fois
Te souviens-tu de ce jour-là
C'était hier je t'aperçois
Mais sur la dune j'étais à toi
Le vent de la mer brûlait nos pas
Son souffle clair guidait nos doigts
Et ton visage perlait sur moi
Comme dans un océan de quiétude
Où je nage encore en rêve
Il faudrait que tu sois sortie
Pour m'expliquer enfin l'envie
Démodée
Qui coule dans mes veines..
La nuit je ne dors pas
Je fais des rêves qui parlent de toi
La nuit je ne dors pas
Je fais des rêves qui parlent de toi
De tes amants de tes poètes
De tes ivresses et de tes fêtes
La nuit tu ne me réponds pas
Et je m'imagine glisser mes doigts
Dans ta bouche comme la première fois
Oh la nuit je meurs
La nuit je meurs
La nuit je ne dors pas
Je fais des rêves qui parlent de toi
La nuit je ne dors pas
Je fais des rêves qui parlent de toi
De tes amants de tes poètes
De tes ivresses et de tes fêtes
La nuit tu ne me réponds pas
Et je m'imagine glisser mes doigts
Dans ta bouche comme la première fois
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