Depuis le pont des arts,
Sous la lumiĂšre qui baisse,
La seine est un miroir,
Dans lequel flotte ma détresse,
Depuis les invalides,
J'attends que la pluie cesse,
Les gens sont bizarres car leurs ombres disparaissent,
Dans cette ville oĂč le beau cache le spleen sous les idĂ©aux,
Si tu pars je ferais tout pour que rien ne m'rappelle,
Dans cette ville oĂč le beau cache mon spleen sous tes idĂ©aux,
J'irais jusqu'à porté plainte pour que la Tour Eiffel reste éteinte,
Je m'efface dans le vent,
Je mâĂ©vanouis dans le temps,
Je suis plus rien sans toi, plus rien sans toi, plus rien sans toi,
Je mâefface dans le vent,
Je mâĂ©vanouis dans le temps,
Je suis plus rien sans toi, plus rien sans toi, plus rien sans toi,
Depuis les quais trop vides,
OĂč des papiers volent au vent,
Notre histoire prend des rides et la seine noie tout mes tourments,
Trop de larmes au cortex,
Sur la buée des vitrines,
J'dessine ton nom Ă l'index sous un soleil et des collines,
Dans cette ville oĂč le beau cache le spleen sous les idĂ©aux,
Si tu pars je ferais tout pour que rien ne m'rappelle,
Dans cette ville oĂč le beau cache mon spleen sous tes idĂ©aux,
J'irais jusqu'à porté plainte pour que la Tour Eiffel reste éteinte,
Je m'efface dans le vent,
Je mâĂ©vanouis dans le temps,
Je suis plus rien sans toi, plus rien sans toi, plus rien sans toi,
Je mâefface dans le vent,
Je mâĂ©vanouis dans le temps,
Je suis plus rien sans toi, plus rien sans toi, plus rien sans toi,
Je m'efface dans le vent,
Je mâĂ©vanouis dans le temps,
Je suis plus rien sans toi, plus rien sans toi, plus rien sans toi,
Je mâefface dans le vent,
Je mâĂ©vanouis dans le temps,
Je suis plus rien sans toi, plus rien sans toi, plus rien sans toi,
Je m'efface dans le vent,
Je mâĂ©vanouis dans le temps,
Je suis plus rien sans toi, plus rien sans toi, plus rien sans toi,
Je mâefface dans le vent,
Je mâĂ©vanouis dans le temps,
Je suis plus rien sans toi, plus rien sans toi, plus rien sans toi,
Plus rien sans toi
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