On dirait quâon sait lire sur les lĂšvres
Et que lâon tient tous les deux sur un trapĂšze
On dirait que sans les poings on est toujours aussi balĂšzes
Et que les fenĂȘtres nous apaisent
On dirait que lâon soufflerait sur les braises
On dirait que les pirates nous assiĂšgent
Et que notre amour, câest le trĂ©sor
On dirait quâon serait toujours dâaccord
Jâai traquĂ© les toujours, dĂ©sossĂ© les dĂ©esses
GoĂ»tĂ© aux alentours, souvent changĂ© dâadresse
Ce qui nous entoure, lâextension de nos corps
Quand nous sommes Ă lâĂ©cart, mineurs, chercheurs dâor
Quand faut-il ĂȘtre pour ?
Que faut-il ĂȘtre encore ?
Quand faut-il ĂȘtre pour ?
Que faut-il ĂȘtre encore ?
On dirait quâon sait lire sur les lĂšvres
Et que lâon tient tous les deux sur un trapĂšze
On dirait que sans les poings on est toujours aussi balĂšzes
Et que les fenĂȘtres nous apaisent
Peut-ĂȘtre que la nuit le monde fait la trĂȘve !
Et quâaujourdâhui ton sourire fait grĂšve ?
On dirait quâon sait lire sur les lĂšvres
Et que lâon tient tous les deux sur un trapĂšze
Peut-ĂȘtre que la nuit le monde fait la trĂȘve !
Et quâaujourdâhui ton sourire fait grĂšve ?
On dirait quâon sait lire sur les lĂšvres
Et que lâon tient tous les deux sur un trapĂšze
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