Une vie Ă deux sâemboĂźtant mieux,
RĂȘver les mots de soi, de moi
Au dessus de ça en nage
Je frise les fous
Jâengage je donne la fiĂšvre au vieux singe en cage
Qui me suit des yeux.
Deux corps en grĂšve oubliant mieux,
Tout « dĂ©calo » Ă lâenvers
Lâenvie dâeux les bonbons
De grĂące timide oublie passĂ© lâĂąge
Je donne ma langue au vieux sage en place,
Fi de mes vĆuxâŠ
Et toi tu nâen dors plus
Tu tâes battu
Soldat maladroit
Tu mâen diras
Tant de trĂȘves tant de cru
Tant de manque de cran,
Reste ou mens.
Une vie Ă deux bien sur le feu,
Vagabondant Ă trouver mieux
Mon cĆur autrefois en fait viens vite avant quâil ne sâarrĂȘte
Je crains dâen faire une affaire de dette,
Je crains dâen faire une affaire,
Dâen faire une affaire de dette,
Fi de mes vĆuxâŠ
Et toi tu nâen dors plus
Tu tâes battu
Soldat maladroit
Tu mâen diras
Tant de trĂȘves tant de cru
Tant de manque de cran,
Tant de rĂȘves grand oĂč se lĂšve le vent
Et toi tu nâen dors plus
Tu tâes battu
Soldat maladroit
Tu mâen diras
Tant de trĂȘves tant de cru
Tant de manque de cran,
Tant de rĂȘves grand ou se lĂšve le vent, reste ou mens,
Reste ou mens.
Reste et mens
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