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Paroles et traduction de la chanson «Kumbaya (Ft. Bibi Bourelly)» par Jacob Banks

Viens par ici (*)

- Bibi
Eh, yeah, yeah, yeah
Yeah, oh, yeah, yeah, yeah
Yeah, oh, yeah, yeah, yeah, yeah

The summer of '09
Été 2009
Back where, lovers love divine
De retour à quand, les amoureux aiment le divin
I still remember you there on my window
Je me souviens encore de toi là à ma fenêtre
Your hair blowing in the sky
Tes cheveux au vent
We've grown up since then
Nous avons grandi depuis
You visit through my pen and through my tears
Tu reviens à travers ma plume et à travers mes larmes
And I recall what we once were
Et je me souviens de ce que nous étions autrefois

- Jacob
If paper planes could fly we would never hit the ground
Si les avions de papier pouvaient voler nous n'aurions jamais heurter le sol
Used to ricochet my mind, every winter in July
Ça me revenait en tête, chaque hiver en juillet
We've grown up since then
Nous avons grandi depuis
You visit through my pen
Tu reviens à travers mon stylo
Through the eyes of our old friends
À travers les yeux de nos amis de l'époque
And my voice when I pretend
Et dans ma voix quand je fais semblant

- Ensemble
(Chorus:)
Kumbaya, we're both livin' in pieces, pieces

Viens par ici, nous vivons tous deux en morceaux, morceaux
Half your heart, go stay with me, yeah, me, yeah
La moitié de ton cœur, va rester avec moi, ouais moi, ouais
(x2)

- Jacob & (Bibi)
(You're so far away, but your memory remains
(Tu es si loin, mais ton souvenir demeure
In my brain, tucked under some painful things)
Dans ma tête, glissé sous des choses douloureuses
You're so far away but when someone drops your name
Tu es si loin mais lorsque quelqu'un lâche ton nom
You come pourin' through my veins
Tu viens affluer dans mes veines
Like that Hollywood cocaine
Comme cette cocaïne d'Hollywood

- Ensemble
(Chorus)

(Instru)

- Jacob
You still come up over coffee
Tu viens encore avec le café
Only sorry that I ain't sorry
Juste désolé de ne pas être désolé

- Ensemble
(Chorus)
___________
Kumbaya viendrait de l'époque des esclaves dans les champs de coton, ils travaillaient dur sous un soleil de plomb et chantaient des cantiques en s'adressant à Dieu, dont l'un entre-eux, Kumbaya, Kumbaya, my Lord (Viens par ici, Seigneur), la foi était leur plus grande richesse dans l'épreuve.

 
Publié par 240397 5 5 7 le 2 janvier 2019 à 10h30.
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