Les lames de fond nous caressent
Et elles nous rappellent d'où l'on vient
Que reste-t-il de l'ivresse
De mon empreinte sur ta main
La peur du vide nous effleure
Mais nos regards sont déjà loin
Les funambules nous font peur
Quand le ciel leur tend les mains
Quand le ciel leur tend les mains
Si on criait au loup
Si on dormait sur les braises
Voir ce qu'il reste de nous
Après le sang et la chair
Si on criait au loup
Si on sautait des falaises
Voir ce qu'il y a au bout
Après l'amour, la genèse
Oh oh oh...
Le temps qui passe nous regarde
Comme un gosse devant un train
Sous la peau quelques échardes
Se souviennent de nos matins
Mais suspendues sous le courant
Nos promesses sont des étoiles
Et elles s'éteignent lentement
Comme l'écume efface nos traces
Comme l'écume efface nos traces
Si on criait au loup
Si on dormait sur les braises
Voir ce qu'il reste de nous
Après le sang et la chair
Si on criait au loup
Si on sautait des falaises
Voir ce qu'il y a au bout
Après l'amour, la genèse
Oh oh oh...
Si on criait au loup
Si on dormait sur les braises
Voir ce qu'il reste de nous
Après le sang et la chair
Si on criait au loup
Si on sautait des falaises
Voir ce qu'il y a au bout
Après l'amour, la genèse
Oh oh oh....
Vos commentaires
Aucun commentaire pour le moment