Il est des regards qui font oublier la peur
Étreintes fragiles qui éloignent la mort
Autant de promesses qui devraient réchauffer voudraient atteindre mon coeur
Mais rien ici bas pour mon âme troublée
Le monde et ses joies faciles n'a su me rassasier
Ici en exil pas une pierre pour me reposer
J'ai aimé parfois
J'ai même pleuré de joie
J'ai souvent été comblé
Mais bientôt cent saisons passées et je reste assoiffé
J'ai choisi de vivre cette morsure au coeur
Je n'en ai pas peur
Jusqu'au bout je me livre à ce combat intérieur
Je guette ton heure
Ton feu me brûle et ne me consume pas
Tu es plus grand
Que ma faim et ma soif mes nuits je sais que Tu m'attends
Que Tu m'appelles même sans Te lasser
Viens maintenant
Que mon âme soit belle
Que Tu puisses y demeurer
Il est un regard qui fit oublier ma peur
Une étreinte a pu vaincre ma mort
Une seule promesse a su atteindre mon coeur
Et rien ici bas ne me la fera oublier
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