Depuis le premier matin oĂč
Je me tiens debout sur mes jambes
J'ai des guitares autour du cou
Sans compter les femmes qui s'y pendent
Sur les parkings et les tarmacs
C'est lĂ que mes nuits se terminent
Les ongles bouffés par le trac
Et le tour des yeux bleu marine
Et j'ai fini par croire
J'ai fini par croire
Que toutes les routes mĂšnent
Aux marches qui montent Ă la scĂšne
Entre deux motos de police
Tous les soirs Ă la mĂȘme heure
J'ai rejoint le fond des coulisses
Comme ma seconde demeure
Comme les enfants que j'ai faits
Quand ils criaient "Encore un tour!"
Dans les bras levés de la foule
J'ai trouvé mes doses d'amour
Et j'ai fini par croire
Oui, j'ai fini par croire
Que toutes les routes mĂšnent
Aux marches qui montent Ă la scĂšne
Toutes les routes
Toutes sauf la prochaine
Parce que je m'arrĂȘte lĂ
Je m'arrĂȘte lĂ ...
Je sais ce que je perds
Je sais ce que je laisse
Le paradis et l'enfer
NoyĂ©s dans la mĂȘme tendresse
Une princesse m'attend
Assise sur le toit du monde
Que voulez-vous que je réponde?
Que voulez-vous que je réponde?
Sans mĂȘme m'en apercevoir
J'ai grandi devant tout le monde
Debout, derriĂšre une guitare
Et j'ai fini par croire
J'avais fini par croire
Que toutes les routes mĂšnent
Aux marches qui montent Ă la scĂšne
J'avais fini par croire
Que toutes les routes mĂšnent
Aux marches qui montent Ă la scĂšne
Oui, toutes les routes
Toutes sauf la prochaine
Parce que je m'arrĂȘte lĂ
Je m'arrĂȘte lĂ
Je m'arrĂȘte lĂ
Je m'arrĂȘte lĂ
Je m'arrĂȘte lĂ
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