Tu es venu en vie, sans une pause en moi, c'est vrai
Les jours immobiles comptent les heures de nos plus lourds secrets
Et quand surviennent leurs cris, dans l'air du temps, l'enfer sourit
Car tu as usé de mes peurs pour taire ses pleurs
Et si ce qu'on raconte est vrai, je compterai mes regrets alors que tu défiles
Mon corps de tes mensonges
Tes lèvres quittent les miennes, te rappelles-tu les siennes
Celles qui n'ont jamais pu énoncer ton nom
De honte et de pardon
Je pense aux marques que tu laissais
Aux bleus de nos étreintes
Pourrais-je retrouver les mêmes sur son corps éteint
Et quand surviennent leurs cris, dans l'air du temps l'enfer sourit
Et tu as usé de mes peurs, pour taire ses pleurs
Et si ce qu'on raconte est vrai, je compterai mes regrets alors que tu défiles
Mon corps de tes mensonges
Tes lèvres quittent les miennes, te rappelles-tu les siennes
Celles qui n'ont jamais pu énoncer ton nom
De honte et de pardon
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