On traverse des déserts, sans désir, sans envie,
Des territoires sauvages, sans aucune trace de vie.
Plaines de poussière.
On cherche d'autres frontières, d'autres ailleurs mieux
qu'ici,
De nouveaux points d'ancrage, des bouts de paradis,
De belles chimères.
On passe d'un paysage à l'autre,
D'une victoire à une faute.
On chasse les nuages, les tempêtes,
Qui planent sur nos têtes.
Comme au cinéma.
La vie défile comme ça.
Comme au cinéma.
La vie défile comme ça.
On se recrée des mondes, des morceaux de banquise,
Où l'on dérive d'amour, jusqu'à ce que tout se brise.
Comme le ciel tombe.
On se sort des décombres, avant que tout se fige,
Demain un autre jour, nous donnera le vertige.
Loin de nos ombres.
On passe d'un paysage à l'autre,
D'une victoire à une faute.
(Tout comme au cinéma)
On chasse les nuages, les tempêtes,
Qui planent sur nos têtes.
(Tout comme au cinéma)
On passe d'un paysage à l'autre,
D'une victoire à une faute.
(Tout comme au cinéma)
On chasse les nuages, les tempêtes,
Qui planent sur nos têtes.
Comme au cinéma
La vie défile comme ça.
Comme au cinéma.
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