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Paroles de la chanson «Les Bateaux Du Courrier » par Michel Sardou

Elle attendait le cœur serré
Le dernier bateau du courrier
La mer n'était pas souvent d'huile
Entre Molène et Belle-Ile

Les cheveux noués dans un foulard
Elle attendait au pied du phare
Un bruit de moteur ou de voile
Du matin jusqu'aux étoiles

Elle attendait au fond du vent
Comme un espoir du continent
Avec les marées de l'automne
C'est fou ce que le cœur frissonne
C'est fou ce qu'une femme entend

Elle attendait le coeur serré
Le dernier bateau du courrier
La mer lui renvoyait ses peines
Dans la chanson des sirènes

Elle entendait au fond du temps
Comme un appel de l'océan
C'est pas d'hier qu'avec l'automne
Les marées lassent le cœur des hommes
C'est fou ce qu'une femme entend

 
Publié par 101032 4 5 7 le 8 février 2018 à 14h16.
Vladimir Ilitch
Chanteurs : Michel Sardou

Voir la vidéo de «Les Bateaux Du Courrier »

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