Il y avait les fleurs et du raisin
Dans la lumiÚre posés sur la table
Moi jâĂ©tais nue mais tu nâ le voyais pas
Il y avait des enfants maquillés
Des princes de fortune et le violon bien sûr
Moi je chantais mais tu nâ mâentendais pas
Dans lâau-delĂ
Je vois ta nature morte
Tu nâes que vanitĂ©
Si tu me désavoues
Il ne reste quâune bougie froide
Et le silence dâun gibier dans les cendres
MalgrĂ© lâamour tu ne me touches pas
Ton lit nâest plus quâune fosse commune
Ton corps inerte un mur de lamentations
Je prie ta sainte verge mais elle ne bouge pas
Dans lâau-delĂ
Je vois ta nature morte
Tu nâes que vanitĂ©
Si tu me désavoues
Tu nâes que vanitĂ©
Si tu me désavoues
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