La nuit Le jour
Tes allers et retours
Tous les matins nous dévoilent
Comme le souffle du temps qui nous dévore tout autour
Jâai mis cent ans Ă vivre et mille ans Ă pleurer
GagnĂ© lâinsomnie Ă tâavoir trop rĂȘvĂ©e
Dans les sanglots arides Ton visage écorché
Embrasser ton crime sans voler un baiser
Le temps nous anime, le temps nous apprend
Les sens sont infimes dans le bleu de ton océan
LĂ oĂč commence notre histoire aux abords de nulle part
Un nouveau jour
On se fait lâamour
Dans le silence des Ă©toiles
Sous des poussiĂšres de fĂ©es que lâon respire tour Ă tour
Je viens de trĂšs loin
Ta peau brûle mes mains
Quand le soleil nous sépare
Quand le jour t'emmĂšnera aux abords de nulle part
Jâai mis cent ans Ă vivre et mille ans Ă pleurer
GagnĂ© lâinsomnie Ă tâavoir trop rĂȘvĂ©e
Dans les sanglots arides ton visage écorché
Embrasser ton crime sans voler un baiser
Le temps nous abĂźme et le temps nous reprend
Les plaisirs infimes dans le rouge de nos sentiments
LĂ oĂč s'Ă©tend notre histoire aux abords de nulle part
Jâai mis cent ans Ă vivre et mille ans Ă pleurer
GagnĂ© lâinsomnie Ă tâavoir trop rĂȘvĂ©e
Dans les sanglots arides ton visage écorché
Embrasser ton crime sans voler un baiser
Le temps nous abĂźme et le temps nous reprend
Les plaisirs infimes dans le rouge de nos sentiments
LĂ oĂč s'Ă©teint notre histoire aux abords de nulle part
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Il s'agit de la chanson titre de l'album Nulle part de DAISY DRIVER.
Le texte raconte l'histoire d'un homme qui a une relation amoureuse avec une femme imaginaire qui ne vit que dans ses rĂȘves. Il la retrouve toutes les nuits pour vivre des moments charnels (La nuit Le jour, tes allers et retours) et les amants se quittent chaque matin au rĂ©veil (Tous les matins nous dĂ©voilent).
L'homme a du mal Ă faire la diffĂ©rence entre la vie rĂ©elle et le monde du rĂȘve. Il souffre Ă chaque fois que sa belle le quitte, Ă un tel point qu'il veut plus s'endormir de peur de se rĂ©veiller (GagnĂ© lâinsomnie Ă tâavoir trop rĂȘvĂ©e).
On imagine qu'il a recours Ă des drogues pour retrouver le sommeil (des poussiĂšres de fĂ©es que lâon respire tour Ă tour), mais la lumiĂšre du jour le ramĂšne toujours Ă son point de dĂ©part (Quand le soleil nous sĂ©pare) et sa belle reste inaccessible, cachĂ©e quelque part dans sa tĂȘte, un endroit qui n'existe que dans son imagination et pas dans la rĂ©alitĂ©, cet endroit est Nulle part.
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