(Je t'appelle
Je t'appelle)
On s'est pris une vague de trop
On a fait tanguer le bateau
On met les voiles
J'suis parti, j'avais les yeux mouillés
Dans le bonheur, je t'ai vue nager
Moineau naufragé sans escale
Les paradis artificiels
Et tous les pseudo septiĂšmes-ciels
Jâai tous voulu les traverser pour me sentir bercĂ© par lâamour Ă©ternel
Que l'on n'a pas su se donner
Mon cĆur est encore Ă©tonnĂ©
Mais je n'oublie rien de tes mains, de ta voix, de tes pas
Sors de ma tĂȘte
De ma peau, sors
J'suis plus qu'un corps
Au bord de l'eau
Sors de ma tĂȘte
J'essaye encore
Mais j'suis moins fort
Que ton Ă©cho
Et je t'appelle
(Je t'appelle
Je t'appelle)
Je t'appelle
(Je t'appelle
Je t'appelle)
J'ai versé une larme de trop
J'ai failli noyer mon Ă©go
Ăa m'est Ă©gal
Pour tous les jolis mots qu'tu voulais
Y a rien à faire, je suis rouillé
J'ai trop de clous sous mes Ă©cailles
Les paradis artificiels ont la couleur du septiĂšme ciel
Mais quand la douleur nous noircit, on finit indécis, si loin de l'essentiel
Que l'on n'a pas su se donner
Ou qu'on n'a pas su pardonner
Mes ailes se brisent et me disent que tu t'es envolée
Sors de ma tĂȘte
De ma peau, sors
J'suis plus qu'un corps
Au bord de l'eau
Sors de ma tĂȘte
J'essaye encore
Mais j'suis moins fort
Que ton Ă©cho
Et je t'appelle
Et je t'appelle
(Je t'appelle, je t'appelle, je t'appelle)
Je t'appelle
(Je t'appelle
Je t'appelle)
Ton Ă©cho
Qui m'Ă©corche sous l'Ă©corce
Je m'efforce de l'oublier
Ton Ă©cho
N'a mĂȘme plus de mot
Sors de ma tĂȘte
De ma peau, sors
J'suis plus qu'un corps
Au bord de l'eau
Sors de ma tĂȘte
J'essaye encore
Mais j'suis moins fort
Que ton Ă©cho
Et je t'appelle
(Je t'appelle
Je t'appelle)
Je t'appelle
(Je t'appelle
Je t'appelle)
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Amir parle de la douleur qui le ronge
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