Te souviendras-tu de nos imprudences
D'une jeunesse qui pleure, des appels manqués
Sais-tu qu’aimer tue le peu d'innocence
Au fond de nos cœurs presque aimantés
Il a sûrement trop plu durant nos absences
Les nuits sans couleurs les hôtels entiers se moquent de nos entailles
C'est dans ce train qui déraille
Pour aller où ? Aller où aller ?
Pour aller où ? Aller où aller ?
Pour aller où ? Aller où aller ?
Vivre une dernière fois
Si demain n'existe pas
Te souviendras-tu de nos squelettes ?
De nos cœurs en miette de cette mauvaise foi
Tout c'qu'on a perdu dans ces nuits de fête
Que personne regrette à l'autre bout de soi
Regarde les sourires durant nos absences
Les nuits sans couleurs les hôtels entiers se moquent de nos entailles
C'est dans ce train qui déraille
Pour aller où ? Aller où aller ?
Pour aller où ? Aller où aller ?
Pour aller où ? Aller où aller ?
Vivre une dernière fois
Si demain n'existe pas
Pour aller où ? Aller où aller ?
Pour aller où ? Aller où aller ?
Pour aller où ? Aller où aller ?
Vivre une dernière fois
Si demain n'existe pas
Pour aller où ? Aller où aller ?
Pour aller où ? Aller où aller ?
Pour aller où ? Aller où aller ?
Vivre une dernière fois
Si demain n'existe pas
Vos commentaires
Aucun commentaire pour le moment