Paroles de la chanson «Laisse-moi Te Dire (Ft. Maitre Gims)» par Mac Tyer

(Mac Tyer)
J'éteins ma télé,
J'éteins ma lumière,
Puis j'éteins mes bougies.
J'me rends compte que j'suis seul
Et que tous mes amis, oui, sont partis trop vite.
Y'en a qu'ont simplement disparu
Comme tous ces frères qui se font tuer dans la rue.
J'm'étais brûlé les ailes dans le ciel
Parce que j'ai voulu grandir trop vite.
On était plusieurs au départ,
On voyait rien dans le blizzard.
On cherchait la lumière
Mais j'avais des potes à moi qu'en avait peur comme Lestat*.
On a rendu fou nos daronnes
Sauf que Sofiane n'en avait pas.
Donc, sache petit frère que c'que tu vis aujourd'hui,
Je l'ai vécu avant toi.

(Maitre Gims) (x2)
Laisse-moi te dire que tu perdras.
Oui, la rue t'obligeras
A lui prouver ton courage.
Et tu te bats pour une femme
Qui au final ne t'aime pas.
Oui, la rue te fait du charme.
Oui, je t'ai vu dans ces bras.

Yooo...

(Mac Tyer) (x2)
J'ai grandi parmi les you-voi (you-voi).
Le soir, ça allait voler les tur-voi (tur-voi).
J'ai toujours été sûr de moi (moi).
Des larmes et de la peine autour de toi (toi).

J'éteins ma télé,
J'éteins ma lumière,
Puis j'éteins mes bougies.
Moi, j'ai fait des gosses, Sofiane,
Qui sortent de dix piges.
C'est fou ce que le temps passe vite.
Il veut des nouvelles de Mamadou
Mais Mamadou nous a quitté.
Il cherche des nouvelles de son ex
Mais la belle elle est déjà mariée.
Frérot, dehors les choses ont changées.
C'est au tour des p'tits frères de manger.
Nous, on a fait notre temps
Comme on a tout niqué,
Comme on s'est fait niqué.
Il m'a dit, So : "Parle pour toi.
Au moins t'as une mille-fa qu'est là pour toi"
Donc, sache petit frère que ce que tu vis aujourd’hui
Je l'ai vécu autrefois.

(Maitre Gims) (x2)
Laisse-moi te dire que tu perdras.
Oui, la rue t'obligeras
A lui prouver ton courage.
Et tu te bats pour une femme
Qui au final ne t'aime pas.
Oui, la rue te fait du charme.
Oui, je t'ai vu dans ces bras.

Yooo...

(Mac Tyer) (x2)
J'ai grandi parmi les you-voi (you-voi).
Le soir, ça allait voler les tur-voi (tur-voi).
J'ai toujours été sûr de moi (moi).
Des larmes et de la peine autour de toi (toi).
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