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Paroles de la chanson «Ton Visage» par Fréro Delavega

Quand en ville, le grain se lĂšve,
Vent de nerf agité,
Que s’éternisent les rĂȘves,
Dans ma réalité.
J’veux des balades sur la grùve,
Oh, un peu d’humanitĂ©.
Moins de bĂ©ton plus de trĂȘve,
Une vie de qualité,
Moins de bĂ©tons plus de rĂȘve
Dans ma réalité.

Que n’ai-je une planche de salut ?
Loin du métro, de son raffut,
Les yeux rivés sur le rivage,
Oublié ton lointain visage.
Que n’ai-je une planche de salut ?
Loin du métro, de son raffut,
Les yeux rivés sur le rivage,

Oublié ton lointain visage.

J’veux des larmes, qui ne coupent pas,
Et moins de peine en 4 par 3,
Un bonheur simple, mais à mon goût,
C’est un peu vrai mais ça fait tout.
J’veux plus de houle dans mon Ă©cume,
Et moins de foule dans mon bitume,
Ces petites choses qui n’ont au clair
De sens qu’une fois qu’on les perd
Ces petites choses qui n’ont au clair

De sens qu’une fois qu’on les perd.

Que n’ai-je une planche de salut ?
Loin du métro, de son raffut,
Les yeux rivés sur le rivage,
Oublié ton lointain visage.
Que n’ai-je une planche de salut ?
Loin du métro, de son raffut,
Les yeux rivés sur le rivage,
Oublié ton lointain visage.

Oooooow,

Que n’ai-je alors une planche de salut ?
Pour chevaucher mon vague à l’ñme
Bel océan, brise-talus
Pour sécher le sel de mes larmes.

Que n’ai-je une planche de salut ?
Loin du métro, de son raffut,
Les yeux rivés sur le rivage,
Oublié ton lointain visage.
Que n’ai-je une planche de salut ?
Loin du métro, de son raffut,
Les yeux rivés sur le rivage,
Oublié ton lointain visage.
Que n’ai-je une planche de salut ?
Loin du métro, de son raffut,
Les yeux rivés sur le rivage,
Oublié ton lointain visage.

 
Publié par 5241 2 2 4 le 4 juin 2016 à 18h21.
Des Ombres et des LumiĂšres
Chanteurs : Fréro Delavega

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