Tu as volé mon enfant,
Versé le sang de mon sang.
Aucun Dieu ne m'apaisera.
J'aurai ta peau. Tu périras.
Tu m'as retirĂ© du cÂur
Et la pitié et la peur.
Tu n'as plus besoin d'avocat.
J'aurai ta peau. Tu périras.
refrain:
Tu as tué l'enfant d'un amour.
Je veux ta mort.
Je suis pour.
Les bons jurés qui s'accommodent
Des rÚgles prévues par le code
Ne pourront jamais t'Ă©couter,
Pas mĂȘme un christ Ă tes cĂŽtĂ©s.
Les philosophes, les imbéciles,
Parc'que ton pÚre était débile,
Te pardonneront mais pas moi.
J'aurai ta tĂȘte en haut d'un mĂąt.
refrain
Tu as volé mon enfant,
Versé le sang de mon sang.
Aucun Dieu ne m'apaisera.
J'aurai ta peau. Tu périras.
C'est trop facile et trop beau.
Il est sous terre. Tu es au chaud.
Tu peux prier qui tu voudras.
J'aurai ta peau. Tu périras.
refrain
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En 1976, Michel Sardou écrit ce titre à chaud en réaction au meurtre du petit Philippe Bertrand par Patrick Henry. Il va provoquer un concert de protestations chez les adversaires de la peine de mort et une vague de violence sans précédent.
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