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Paroles de la chanson «Cabriolet» par Odezenne

Cabriolet

Un moteur tremble, une route défile
Un cœur à prendre, une roue qui pile
Dans des cheveux du vent dessine
Et sous des bleus ses yeux qui dealent
Sur un volant des mains habiles
Conduite violon, 2 grammes dans l'jean
Sous les néons, tunnel des villes
Lèvres violettes, sourire dans l'mille
La ligne blanche la rend docile
Sixième dans le manche, deux cents tout pile

Je ne crois pas, que je t'aide
Je ne crois pas, que je t'aide
Je ne crois pas, que je t'aide
Je ne crois pas

Baisser les armes c'est plus facile
Dans un grand verre cassé au gin
Comme un géant au bord du Nil
Chasser les larmes de crocodiles
Et sur ses joues couleur livides
Clouer de doux « bébés » fragiles
Avec « dent-elle » est belle cette fille
Tendre levrette et pacotilles

Je ne crois pas, que je t'aide
Je ne crois pas, que je t'aide
Je ne crois pas, que je t'aide
Je ne crois pas

 
Publié par 24484 4 5 7 le 30 novembre 2015 à 11h11.
Dolziger Str. 2
Chanteurs : Odezenne

Voir la vidéo de «Cabriolet»

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