Seigneur qui connaissez le malheur, tout le poids de vos malheur
PlutĂŽt que de soupirer, d'entretenir cette douleur
En habit de fĂȘte rejoignez-nous, nous apaiserons vos tourments
Votre solitude, le poison de votre chagrin
Seigneur qui connaissez la honte, découvrez à présent nos danses
Sous le soleil du mois de mai, laissez-vous prendre au jeu
Quelle joie, Monsieur, de vous recevoir, au delĂ de tout jugement
Abandonnez donc votre solitude, le poids de votre douleur
Vos commentaires
Aucun commentaire pour le moment