Avec l'âge, il est rare que les hommes fassent la cour
Parfois la fatigue, dépasse l'amour
C'est rester et devenir l'étranger
Ou songer au désir d'étrangler
On souhaite la belle qui puisse nous épauler
Pas celle qui hurle pour le timbre mal collé
La première fois, que tombe le masque
Le coeur nous pique on espère une farce
Voir naître après tant de soupirs
La crainte que nul sacrifice ne va suffire
Le poing sur la poitrine c'est l'hymne des hommes qui en ont marre
Vous étonnez pas si on vous chante dans les bars
Quitte-moi, quitte-moi,
Please si je t'exaspère
Tu ris de moi, me vides,
Dites-moi si j'exagère
Une fois par mois, c'est des phrases meurtrières
Quand c'est trop n'importe quoi, les raisons sont menstruelles
Sans parachute, on a sauté du 7ème ciel
Nos rapports ont une cadence bimestrielle
Quand tu souris je regarde derrière moi
Tu t'inquiètes quand je ris des fois
Ça va jusqu'à des mots qu'on dit pas à son chien j'en titube
Pour quémander plus on frise l'ingratitude
Comment l'homme aimé peut-il vouloir partir ?
Si certains ne valent rien beaucoup sont des martyrs
Maudit soit le jour où je t'ai croisée de bonne humeur
Si c'était à refaire, je ne t'aurais jamais demandé l'heure
Quitte-moi, quitte-moi,
Please si je t'exaspère
Tu ris de moi, me vides,
Dites-moi si j'exagère
Quand s'allonge la distance, grandit l'amour,
Pour une dispute attends le lendemain du retour
Après le boulot, on doit se re-concentrer
Raison pour laquelle on traine avant de rentrer
Ah, si tu étais gentille, que tu cessais tes crises
Lady, tu serais pas loin de cette fille pour qui je t'ai prise
Avec une autre ça sera la même, allez
Fais de moi ton roi, que tu sois ma reine
La vie est dure mais peut être belle
Au fond de nous ce qu'on souhaite
C'est être cool avec celle qu'on aime
Laisse-moi te faire des trésors de petits repas,
Si tu es d'accord ne me quitte pas, ne me quitte pas
Quitte-moi, quitte-moi,
Please si je t'exaspère
Tu ris de moi, me vides,
Dites-moi si j'exagère
Quitte-moi, quitte-moi,
Please si je t'exaspère
Tu ris de moi, me vides,