Quatre heures du matin
Quatre heures du matin
C'est l'instant le plus lourd
Les portes sont fermees
Les fenetres sont vides
Il faut faire son choix
Elles viennent les rides
Il va bientot faire jour
Il fait deja presque froid
Je veux te dedier
Ma migraine, mon ennui
Le debut de ma haine
Et le fond de mon orgie
Quatre heures du matin
C'est l'un des derniers verres
Dans les ombres etranges
Et les bouteilles vides
Il va falloir sortir
Dans cette rue humide
La ou le vieux malaise
Me fait presser le pas
Et je veux te dedier
Ma migraine, mon ennui
Le debut de ma haine
Et le fond de mon orgie
Quatre heures du matin
Et quelque part la bas
Le soleil d'aube larmoie
Sur des champs inondes
Je vais bientot courir
Et me jeter vers toi
Je viens m'aneantir
Me sourir dans tes bras
Et je veux te dedier
Ma migraine, mon ennui
Le debut de ma haine
Et le fond de mon orgie
Quatre heures du ma-tin
C'est l'instant le plus lourd
Les portes sont fer-mées
Les fe-nê-tres sont vides
Il faut fai-re son choix
Elles ar-ri-vent les rides
Il va bientôt faire jour
Il fait dé-jà presque froid
Et je veux te dé-dier
Ma migraine, mon en-nui
Le début de ma hai-ne
Et le fond demonor-gie
Et je veux te dé-dier
Ma mi-grai-ne, mon en-nui
Le dé-but de ma hai-ne
Et le fond de mon or-gie
Quatre heures du ma-tin
C'est l'un des derniers verres
Dans les ombres é-tranges
Et les bou-teil-les vides
Il va fal-loir sor-tir
Dans cette rue hu-mide
Là où le vieux ma-laise
Me fait pres-ser le pas
Quatre heures du ma-tin
Et quelque part là-bas
Le so-leil d'aube lar-moie
Sur des champs i-non-dés
Je vais bien-tôt cou-rir
Et me je-ter vers toi
Je viens m'ané-an-tir
Me sou-ri-re dans tes bras