J'esquivais pour de bon les marivaudages
Majestueuse elle a pointé l'impasse
J'esquivais pour de bon les marivaudages
Majestueuse elle a pointé l'impasse
Fatigué par les rires des flatteuses
Là je t'aguiche là je te toise
Fatigué par les rires des flatteuses
Là je t'aguiche là je te toise
Charnelle le sût-elle
Je vis des voies nouvelles
Me voici devenu élastique
Grand sot souple qui duplique
Les glissades à l'heure des bordées
J'esquivais pour de bon les marivaudages
Majestueuse elle a pointé l'impasse
Je n'étais plus très neuf pour les énigmes
Les aveux des alcôves aux terrasses
Fatigué par les rires des flatteuses
Là, je t'aguiche, là, je te toise
Je me suis coiffé au premier toucher
Du casque ailé de ma gauloise
Charnelle, le sût-elle
Je vis des voies nouvelles
On me dressait des autels,
Des chambres capitonnées
Lisses comme des aquarelles
J'ai perdu des nuits à me refaire, rien dans le jeu
Un roi, une paire
Des éros paralysés aux tentatives maquerelles
Me voilà désorganisé par sa brutalité chienne
Moi qui construisais des mausolées
Pour mes amours mal enterrées
Plutôt que l'ennui ne me vienne
Charnelle, le sait-elle
Je vois des vies nouvelles
Charnelle, le sait-elle
Je vis des voies nouvelles
Me voici devenu élastique
Grand sot souple qui duplique
Les glissades à l'heure des bordées
Charnelle, Charnelle
Je veux de vos nouvelles