Personnelles, ces impressions soudaines
L'essentiel paresse dans un mystère
Si cruelle, la violence de mes rêves
Qui plongent dans le secret de mes vaines prières
Sur tes lèvres, des mots qui se répètent
Accélère, j'ai peur que tout s'achève
L'apparence souffre de négligence
Jongle d'indifférence, résonne un doute intense
Le contrechamp des habitudes, c’est un volcan de solitude
Et j’agonise dans ce brouillard, mon corps s’agite, je perds l’espoir
Le contrechamp de mon silence, c'est un pantin qui pleure, qui danse
Et je m'accroche à cette pente, l'envie dérape si j'abandonne
L'atmosphère libère ses états d'âme
Persévère dans un bonheur qui s'arme
Solitaire, cette euphorie légère
Sensible et rancunière, l'amour est-il sincère?
Le contrechamp des habitudes, c’est un volcan de solitude
Et j’agonise dans ce brouillard, mon corps s’agite, je perds l’espoir
Le contrechamp de mon silence, c'est un pantin qui pleure, qui danse
Et je m'accroche à cette pente, l'envie dérape si j'abandonne
Le contrechamp des habitudes, c’est un volcan de solitude
Et j’agonise dans ce brouillard, mon corps s’agite, je perds l’espoir
Le contrechamp de mon silence, c'est un pantin qui pleure, qui danse
Et je m'accroche à cette pente, l'envie dérape si j'abandonne