Alfredo c’est un copain, un copain jamaïcain
Certains disent qu’il ne sait rien faire de ses deux mains
Mais dès qu’il voit un bongo faut voir les mains d’Alfredo
Ce qu’elles savent faire d’un tempo style afro cubain
Bongo Bongo Bongo Bongo
Quand tu tapes sur ton bongo
Autour de toi aussitôt, ça fait remuer les hanches
Bongo Bongo Bongo Bongo
Quand tu tapes sur ton bongo
On peut dire adieu Tango c’est parti pour une nuit blanche
Certains disent d’Alfredo que c’est un affreux jojo
Un obsédé du repos, un sacré fainéant
Mais donnez-lui un bongo et vous verrez qu’Alfredo
Transpirera sans néo juqu’au jour levant
Bongo Bongo Bongo Bongo
Quand tu tapes sur ton bongo
Autour de toi aussitôt ça fait remuer les hanches
Bongo Bongo Bongo Bongo
Quand tu tapes sur ton bongo
On peut dire adieu Tango c’est parti pour une nuit blanche
Quand ça ne tourne pas rond
Quand on se fait du mourrons
Quand pour un oui, pour un non on a l’cœur en plomb
On va chercher Alfredo
On va chercher un bongo
En deux coups de cuillères à peau
Il vous r’met d’aplomb
Bongo Bongo Bongo Bongo
Quand tu tapes sur ton bongo
Autour de toi aussitôt ça fait remuer les hanches
Bongo Bongo Bongo Bongo
Quand tu tapes sur ton bongo
On peut dire adieu Tango c’est parti pour une nuit blanche